voiture ou vélo ?

Techniquement, 22h c'est bel et bien la nuit, et depuis longtemps vu que le soleil se couche un peu avant 17h en ce moment...

Sinon, pour la circulation, j'imagine qu'elle est partout plus légère en cette période de vacances (pas mal de monde a au moins pris les 2 lundis en congés) Au fait, en Belgique, est-ce que le 24 et le 31 sont des jours fériés ?

marcb a écrit:

Au fait, en Belgique, est-ce que le 24 et le 31 sont des jours fériés ?

non, seuls les 25 décembre et 1er janvier le sont...
comme chez vous j'imagine...

En effet, mais il me semble qu'il y a des pays où ces 2 jours sont également fériés.
Il faudrait que je vérifie sur un agenda qui indique les jours fériés de plusieurs pays.

En Suisse c'est férié le 26 également

Il me semble difficile de passer du tout voiture au tout vélo, même si dans certains cas c'est faisable. Mais on peut de passer du tout voiture à un mixage entre voiture et vélo, voire aussi transport en commun. Dans certains cas, le vélo et/ou le transport en commun sont plus appropriés. Depuis que j'ai mon Brompton, je vais travailler à vélo + tram, parfois je rajoute le bus, mais je garde la voiture pour le week end (courses, sorties familiales), mis à part bien sûr si on sort en ville (tram).
Avant d'opter pour le vélo pliant, j'étais aussi très tenté par le vélo électrique, qui a d'autres avantages, et non des moindres.

[quote="seb69"]

Daniel a écrit:

Par contre Daniel est ce que tu as moyen de faire 1 photo ou 2 pour voir l'état des Stelvio après 8500 KMS?

L'arrière je l'ai jeté, mais il avait pas mal d'entailles dans le cahoutchouc devenu fort mince, qui laissaient voir la toile en un point. L'avant que j'ai mis à l'arrière est tout à fait convenable. Bon, pour les phoptos c'est trop compliqué pour moi !
Joyeuses fêtes à tous.

seb69 a écrit:

En Suisse c'est férié le 26 également

Ben non, tu te trompes, Genève se trouve bel et bien en Suisse et j'ai été au boulot toute la journée. Mais il est vrai que quasiment la totalité de l'administration ne bosse pas ET est absente du lieu de travail.

Jipy a écrit:

Il me semble difficile de passer du tout voiture au tout vélo, même si dans certains cas c'est faisable

Je pense aussi qu'il est totalement illusoire de penser que la population puisse passer du tout voiture, au tout vélo+transport en commun.

J'ai lu le roman d'Irène Némirovsky "Suite Française" sur la période de crise extrême qu'a été l'exode massif des parisiens en juin 1940 devant l'arrivée des allemands. Alors qu'il n'y avait pratiquement plus de carburant, les parisiens ont pris leur voiture en entassant 8 personnes à l'intérieur (laissant parfois des proches derrière eux), les bagages sur le toit et sont restés coincés à 40km de Paris dans de longs bouchons. Même si les vélos étaient peu performant à l'époque, ils étaient assez répandus. Or il y eu peu de vélo sur les routes de l'exode.



Il ne faut pas se faire d'illusion, si le litre d'essence était à 100€, si Paris était à feu et à sang, 95% de la population prendrait sa caisse pour fuir même en restant coincé plusieurs jours sur la route.

Un exemple plus récent: l'exode lors de l'annonce de Katrina sur la Nouvelle-Orléans. Les riches ont pris leur voiture, les pauvres sont restés sur place. Pays completement plat. Aucun vélo sur les routes.



Les meilleurs chiffres de déplacements urbains sont hollandais, avec une tradition ancienne et un pays plat!
Des villes hollandaises exceptionnelles comme Delft ont réussi grâce à des politiques extrêmement volontaristes, et une femme qui a su imposer cette politique, Myriam Van Oers.

A Delft il y a autant de vélo que d'habitants, et 43% des déplacements de moins de 7,5km se font à vélo.

Peut-être parce que que la voiture ressemble finalement à une toute petite maison : elle a un toit, des "murs", elle peut abriter plusieurs personnes et les protéger des intempéries, du froid, elle peut emporter des bagages... tout ce que ne fait pas (ou très mal) un vélo.
Par contre le vélo continue à vous transporter même s'il n'y a plus de carburant.
La solution : un Brompton dans le coffre ?

Erreur historique de certains ici, pendant l'occupation, dans les grandes villes, il y a bien eu un début de culture du vélo, à Paris par exemple :



Pourquoi....... ce développement, parce-que les vélos...... avaient pris LA PLACE DES VOITURES..... ils ne roulaient pas sur ces ridicules pistes cyclables (limite bizutage) que les pouvoirs publics, mettent à notre disposition aujourd'hui..... CQFD

Tarouilan a écrit:

Erreur historique de certains ici, pendant l'occupation, dans les grandes villes, il y a bien eu un début de culture du vélo, à Paris

Merci, superbes photos Tarouillan
Le vélo urbains a fini par se développer pendant l'occupation, puisque le carburant a fini par disparaitre complètement, n'empêche que le premier reflexe des parisiens a été de prendre leur bagnole pour fuir l'occupant en juin 40 pendant qu'il y avait encore quelques réserves de carburant.

De même dans notre quotidien, le premier reflexe est de prendre sa caisse pour le moindre déplacement pour plus de 95% de la population. Nous sommes conditionnés, s'il ne reste qu'un seul poste budgétaire dans un foyer surendetté, c'est celui de la voiture et du carburant. Pour la bouffe il y a les restos du coeur

Merci pour ces photos !
C'est donc possible, et ça s'est fait.
Mais je pense que le plus gênant aujourd'hui, n'est pas tant le fait qu'il y ait des voitures, que le fait qu'il y ait TROP de voitures, d'où la pollution, les embouteillages, l'énorme gaspillage énergétique.
Il y a des cas où la voiture reste indipensable, mais c'est à chaque fois qu'elle ne l'est pas qu'il faudrait un changement de comportement.

Jipy a écrit:

Il y a des cas où la voiture reste indipensable, mais c'est à chaque fois qu'elle ne l'est pas qu'il faudrait un changement de comportement.

Tout à fait d'accord Jipy.
Il faut simplement se poser la question:
"Est-ce que je suis obligé de prendre la voiture?"
Si on se pose honnêtement la question, on finit par ne presque jamais prendre la voiture:
Dans mon cas:
- Pour le boulot, c'est reglé, mon lieu est fixe, ça fait 12 ans que je n'ai pas pris la voiture pour aller tafer.
- Pour les courses: je ne vais plus jamais dans les supermarchés de périphérie, toujours commerces de proximité. Ma femme se fait livrer. Les prix? Dans les superettes, les produits de la marque du supermarché, sont les mêmes quelque soit le lieu. Economie énorme en terme de consommation. Les hypermarchés sont de véritables gouffres de consommation!
- Pour les loisirs, la culture: j'ai redécouvert la lecture depuis plusieurs années, c'est une richesse incroyable. Je suis parti à Noël avec toute ma famille en train dans les Pyrénées, maison de famille, grande richesse de rencontres... Paris en TGV-Brommie-Velib, inépuisable... Beaucoup de grandes villes européennes sont accessibles en train... Notre réseau ferroviaire français reste encore assez riche...
- Pour le sport: marche à pied, Brommie-Taf, VTT à la campagne, montagne.
- Pour les conduites des enfants: J'ai choisi une école à proximité, à pied, trotinette, vélo.
- Pour les activités extra-scolaires: partage de conduite en caisse (parfois je suis quand même obligé)
- Pour la conduite accompagnée de mon fils de 18 ans, là j'ai vraiment pas le choix, si quelqu'un à une solution?

Enfin, petit anecdote, je suis parti en train dans les Pyrénées à Noël, petite étape à Pau pour aller voir de la famille, avec mon Brommie. J'ai eu beaucoup de mal à convaincre qu'on ne vienne pas me chercher en caisse à la gare: "C'est dangereux, il fait froid, il fait nuit, etles bagages, ça monte, tu vas être fatigué etc...". Les bonnes intentions y étaient. Le seule arguments qui aurait pu me faire changer d'avis, aurait été la convivialité de faier un trajet en voiture pour discuter. Je crois que je passe pour un fondu dans ma famille

Moi je dis : respect !

Je suis encore loin d'en être là, mais depuis que j'ai le Brommie, j'ai fait des progrès ! L'important, c'est déjà de changer...

Chapeau Vinvin pour ces actions quotidiennes.

Le voyage en train me plairait bien mais avec deux jeunes enfants, il faudrait que je potasse le coût global (billet, location ponctuelle d'une véhicule sur place...), je suis déjà largement convaincu sur le confort offert par le tgv pour faire un Lille - Toulon.

Il y a aussi des incitations comme la limitation des voitures en centre ville. A Lille, il y a UNE rue pietonne, tout le reste est ouvert aux voitures même la Grand place.

Une centre ville = utilsation de moyens de transport alternatifs = demande de qualité d'infrastructures de la part des usagers.

S'il y a une offre de transport en commun performante, cela incite les gens à y aller. Mais je ne suis pas sûr qu'on y mette toujours les moyens. Autre constat : ce sont aussi les bouchons sur les routes qui incitent au transport en commun. S'il y avait moins de voitures et qu'il n'y avait plus de bouchon, tout le monde (ou presque ) prendrait sa voiture. Et on retrouverait les bouchons. Les routes ont donc vocation à être saturées. Et plus on fera des routes, plus on incitera les gens à prendre leur voiture.

Jipy a écrit:

La solution : un Brompton dans le coffre ?

C'est la solution que j'ai choisi. Impeccable, car sur l'autoroute, à 110, le Brompton ne tient pas très bien la route. À une porte de Paris, je pose la voiture et hop, à cheval sur mon Brompton ! (idem dans d'autres config.)

Les petits trajets inférieurs, disons à 3 km, ne devraient pas se faire autrement qu'à vélo, à pied pour 1 km. Je pense que déjà ça serait un gros progrès. Mais hélas, ce n'est pas gagné, car, par exemple, j'ai mené mes enfants à l'école à vélo pendant 4 ans par tous les temps (1 km 5) ce qui représente près de 500 km par an pour chaque enfant. Eh bien, à part quelques cas très ponctuels, et une tentative le samedi avec l'aide de parents et de la commune, je suis resté le seul dans mon cas, ce qui m'a rendu célèbre dans ma commune.

Jipy a écrit:

Autre constat : ce sont aussi les bouchons sur les routes qui incitent au transport en commun. S'il y avait moins de voitures et qu'il n'y avait plus de bouchon, tout le monde (ou presque ) prendrait sa voiture. Et on retrouverait les bouchons. Les routes ont donc vocation à être saturées. Et plus on fera des routes, plus on incitera les gens à prendre leur voiture.

L'éternel problème ! que l'on retrouve dans tous les domaines d'ailleurs !

Conclusion : plus on pédale moins vite, moins on avance plus vite.

walmus a écrit:

Jipy a écrit:

La solution : un Brompton dans le coffre ?

C'est la solution que j'ai choisi. Impeccable, car sur l'autoroute, à 110, le Brompton ne tient pas très bien la route. À une porte de Paris, je pose la voiture et hop, à cheval sur mon Brompton ! (idem dans d'autres config.)

Les petits trajets inférieurs, disons à 3 km, ne devraient pas se faire autrement qu'à vélo, à pied pour 1 km. Je pense que déjà ça serait un gros progrès. Mais hélas, ce n'est pas gagné, car, par exemple, j'ai mené mes enfants à l'école à vélo pendant 4 ans par tous les temps (1 km 5) ce qui représente près de 500 km par an pour chaque enfant. Eh bien, à part quelques cas très ponctuels, et une tentative le samedi avec l'aide de parents et de la commune, je suis resté le seul dans mon cas, ce qui m'a rendu célèbre dans ma commune.

Bravo, c'est certain, qu'une très grande majorité de nos contemporains, prennent leur voiture pour faire 1 malheureux Km..... ne parlons pas de trois.... c'est pour eux parfaitement irréalisable.... autrement qu'en caisse...

Et encore, on n'est pas aux Etats Unis. Mes voisins qui en reviennent, me disaient que là-bas, ils passaient pour des extra-terrestres car ils allaient à pied à la boulangerie !

Ce qui serait chouette, c'est qu'il y ait autant (voire plus !) d'argent mis dans la publicité du vélo que dans celle de la voiture.
Mais c'est purement utopique, puisqu'on sait bien que le budget pub est à peu près proportionnel au chiffre d'affaire, et que celui généré par le vélo est bien faible par rapport à celui généré par la voiture...
C'est comme la pub pour les fruits et celle pour les céréales chocolatées, alors qu'on sait bien ce qui est meilleur pour la santé...
C'est pourquoi les économies trop libérales ont du plomb dans l'aile, s'il n'y a pas un peu d'interventionnisme d'état (ou plutôt d'états), on laisse la part belle au "moi-enfant" : la pub flatte le côté enfant (de la bouffe jusqu'aux voitures cf. la pub Mercedes pour ne citer que cet exemple !), et bien sûr, les gens se comportent comme des enfants ("la mienne est plus grosse que la tienne" (je veux parler de la voiture !)", "je veux un 4x4 pour affronter la jungle urbaine", etc etc).

Il y a deux semaines, il y a eu des pics de pollution spectaculaires dans ma région... avec une qualité de l'air immonde ! (du fait d'un phénomène d'inversion des températures). Les autorités communales avaient d'abord pensé interdire la circulation automobile dans un certain périmètre, puis ensuite, elles se sont dit qu'il valait mieux limiter la vitesse et réprimer les contrevenants... finalement, on a simplement conseillé aux usagers de rouler moins vite et la police s'est même installée pour faire des appels de phares à ceux qui roulaient plus vite que la vitesse conseillée... résultat : le centre ville aussi encombré que d'habitude, autant voire plus de bagnoles sur les routes, et je n'ai vu aucun automobiliste respecter les limitations "suggérées" (à part moi qui ai dû aller chez mes parents à 100km de là en voiture... sur l'autoroute, j'ai respecté les 90km/h conseillés, mais j'ai eu du mal avec les gens qui arrivaient derrière moi à toute allure et me faisaient des appels de phare car je roulais moins vite qu'eux........ je ne me suis pas senti en sécurité mais j'ai tenu bon ! en me rendant compte que ce geste est dérisoire par rapport à la problématique... et je n'avais aucun train pour m'aider à transporter les près de 200kg de matos que je devais transbahuter)


Un problème souvent invoqué par les "jeunes" travailleurs par rapport à la voiture : celui des enfants à aller rechercher chez la gardienne, à la crêche, à l'école... mon exemple est fabuleux : nous n'avons pas trouvé de place en crêche ni chez une gardienne à proximité de chez nous pour notre petit bout (on était trop loin sur les listes d'attente). On a dû opter pour une solution plus lointaine, à 15km de chez nous. Je bosse de 7h à 16h, je vais bosser en vélo+train, et la gardienne finit journée à 17h30. J'ai tout juste le temps de rentrer à la maison pour prendre la voiture et aller rechercher mon petit bout... sans voiture, je fais quoi ? je vais au chômage ? Je n'ai pas d'enfant ?
Je précise aussi la chose suivante : je fais le choix de prendre le train+vélo, ça me fais 2h10 de trajets pour le boulot par jour + 35 minutes de trajet pour bébé soit 2h45... si je faisais tout en voiture, cela me ferait en tout : 1h40 environ... je n'ai pas envie de changer car cela me plaît trop de pouvoir rouler à vélo et de lire dans le train (plutôt que de m'énerver au volant de ma voiture).

Pour que les choses bougent et que la voiture soit aussi peu utilisée que possible, il faut aussi que la politique familiale puisse être totalement revue à mon sens (pour le moment, c'est "vacances" chez nous, les rues sont quasi désertes, mais dès que l'école recommencera, les gens reprendront leurs voitures pour conduire leurs enfants à l'école...)

Tarouilan a écrit:

walmus a écrit:

Jipy a écrit:

La solution : un Brompton dans le coffre ?

C'est la solution que j'ai choisi. Impeccable, car sur l'autoroute, à 110, le Brompton ne tient pas très bien la route. À une porte de Paris, je pose la voiture et hop, à cheval sur mon Brompton ! (idem dans d'autres config.)

Les petits trajets inférieurs, disons à 3 km, ne devraient pas se faire autrement qu'à vélo, à pied pour 1 km. Je pense que déjà ça serait un gros progrès. Mais hélas, ce n'est pas gagné, car, par exemple, j'ai mené mes enfants à l'école à vélo pendant 4 ans par tous les temps (1 km 5) ce qui représente près de 500 km par an pour chaque enfant. Eh bien, à part quelques cas très ponctuels, et une tentative le samedi avec l'aide de parents et de la commune, je suis resté le seul dans mon cas, ce qui m'a rendu célèbre dans ma commune.

Bravo, c'est certain, qu'une très grande majorité de nos contemporains, prennent leur voiture pour faire 1 malheureux Km..... ne parlons pas de trois.... c'est pour eux parfaitement irréalisable.... autrement qu'en caisse...

Une cousine qui a baby-sitté notre enfant récemment parce que nous allions à un concert (à 20 minutes à pied, certes à 8 minutes en voiture temps de trouver un parking compris) m'a pris pour un demeuré quand je lui ai dit qu'on y allait à pied (m'enfin, allez y en voiture, il fait pas chaud, vous êtes fous ou quoi ???). Elle hallucinait quand je lui ai expliqué que j'allais à la boulangerie à vélo, à 2km de chez nous (m'enfin, ça va plus vite en voiture, non ??? - j'ai eu bcp de difficultés à la convaincre !!!)

Bien sûr, d'ailleurs je crois que personne (au niveau des gouvernements) n'envisage sérieusement l'abandon de la voiture. Eventuellement une petite diminution de son usage peut-être. Ce qui est surtout visé, c'est de réduire la pollution des voitures (ou plutôt les émissions de CO2), voilà le véritable enjeu. Parce qu'il est inconcevable que l'humanité se prive d'un carosse roulant individuel où chacun peut se déplacer au chaud et à l'abri des intempéries. Le progrès nous a apporté ce confort, alors tout sera fait pour le conserver.
Et puis le vélo, pour les jeunes, c'est le symbole de l'enfance. Etre adulte, c'est nécessairement avoir une voiture. C'est un symbole même d'ascencion sociale, de respectabilité. Regardez dans les pays en voie de développement : tout le monde rêve de troquer son vélo contre une voiture. Aucun enfant ne rêve à un super vélo pour quand il sera adulte (à part quelques sportifs, ou quelques marginaux).
Je vois souvent des "gens du voyage" : les jeunes ont déjà des petites motos à 8 ans, puis la vraie moto ou le scooter, ou le squad, puis la BMW... il faut de la puissance, faire crisser les pneus, laisser de la gomme par terre... ça c'est viril ! Le vélo n'a aucune chance auprès d'eux, et il n'en a pas beaucoup plus chez nos jeunes.

Sur les périphériques, il y a des panneaux pour vous donner votre temps estimé d'arrivée. Il faudrait des panneaux équivalent sur les grandes artères des centre villes avec des équivalences vélo.

Gare du Nord : 35 min (10 en vélo)

Les personnes avec qui je discute vélo sont toujours étonnés (voir incrédules) à propos des temps de parcours en ville.