De l'intérêt du pare boue.

Salut, un petit billet d'humeur. J'ai parfois lu ça et là que les pare-boue étaient dispensables sur le Brompton. Et comme j'ai toujours utilisé mon Brompton avec ses pare-boue, je ne me suis jamais posé la question de leur efficacité.

Tout au plus m'étais-je dit que, s'ils étaient dispensables, ils faisaient partie du charme anglais du vélo.

Mais j'ai récemment cassé mon pare boue arrière et, fait rare, il a plu à Marseille. Ce qui m'a permis de tester la route sans pare boue.
Et diantre, quel changement. En quelques secondes, j'ai ressenti une humidité nette sur le postérieur. Une vraie douche. J'ai finalement abandonné la route pour les transports en commun, moins humides.
Bref, les pare-boue, utile quand même.

Sans pare boue c'est l'équipement de pluie qui devient effectivement un incontournable.

Je n'en ai pas non plus actuellement mais avec un bon pantalon et blouson, on arrive bien sec.

Par contre un gros nettoyage s'impose, un plus gros qu'avec pare boue.

C’est quoi un bon pantalon et blouson (court) qui permettent d’éviter d’être trempé ? Je ne me pose plus la question du garde boue depuis que je fais du Velotaf et particulièrement auj ou il fait limite neige dans le coin...

Sans garde boue (et sans les indispensables bavettes en bas de garde boue) Il n'y a pas que l'eau qui est projetée sur les vêtements, il y a aussi la crasse de la route.

Les vêtements sont non seulement mouillés mais aussi crasseux (une superbe ligne de crasse verticale du haut du pantalon à la nuque).

Donc à moins d'accepter de rester au sec mais d'avoir des vêtementes dégueulasses, lorsqu'il pleut, les gardes boue + leurs bavettes sont indispensables.

Sangarde boue, le vélo lui-même devient bein sur tout aussi crasseux.