les Jeux Olympiques de 2008 verraient les premiers cas de dopage génétique.
Selon Theodore Friedmann, directeur du Centre de génétique moléculaire de l’Université de San Diego (Californie), les modifications génétiques qui étaient à l’origine uniquement détectables avec des techniques sophistiquées (scanners, biopsie musculaire) sont désormais détectables par des méthodes traditionnelles aussi. Mais cet exploit reste à ses débuts, et ne serait pas prêt à l’emploi pour les jeux olympiques de Pékin en 2008.
Au lieu de s'occuper de sujet auxquels ils ne connaissent strictement rien, comme le Tibet, pourquoi, les créatures de Sarkoléon, ne s'occuperaient pas de ce problème capital, ou la crédibilité même du sport de compétition est définitivement remise en question.....
Dopage génétique..... commencé en 2006 :
L'entraîneur allemand
Thomas Springstein pourrait bien être un «pionnier» dans le domaine du dopage génétique… Des enquêtes menées sur le cas de Springstein (AMA) ont intercepté des échanges de courrier électronique démontrant que
Springstein cherchait à se procurer du Repoxygen, une version modifiée de l'érythropoiétine qui est indétectable par les techniques conventionnelles.
L'érythropoïétine est bien connue dans le monde du sport de compétition, sous le nom d'EPO. L'EPO est une protéine qui augmente l'efficacité de consommation de l'oxygène, ce qui peut grandement améliorer les performances dans les sports d'endurance, mais son usage est interdit par les règlements sportifs.
Repoxygen est un produit qui permet d'insérer une version modifiée du gène de l'érythropoïétine dans l'ADN d'un athlète. Ce gène
produira la protéine à l'intérieur du corps de l'athlète, ce qui augmentera ses capacités énergétiques. Repoxygen est présentement développé dans des buts thérapeutiques et n'est pas disponible sur le marché.