Increvables : les bandages pour les roues du Brompton

Alors là , c'est "pimp" maxi !

jusqu'ou irons nous avec les polymères ... Un truc qui serait bien , c'est d'avoir la dureté "shore" de ces pneus , mais bon , rien ne vaut un test comparatif avec un Marathon
ou un Kojak bien gonflé .
J'ai quand même bien peur que le rendement ne soit pas au rendez-vous . Pour travailler de temps en temps avec des résines PU à dureté variable ( shore 25 à 100 , de la
consistance du caoutchouc au béton ) , si cela se monte à la main , ce doit être assez mou ... Donc ça risque de coller à la route ! Et puis , pas moyen de varier comme avec le gonflage , de temps en temps ,
c'est ce que je fais , un petit 3,5 à 4 Bars pour la ville et un 6 pour la route , mais c'est anecdotique quand même .
Contre les crevaisons , je suis passé des Kojaks aux Marathons Greenguard et c'est le jour et la nuit ! Un peu plus lourds certes mais très roulants .

Par contre , des vrais tubeless , ce serait bien ! Là ce sont des pneus pleins .

En tout cas merci a Nwben pour cette trouvaille !

folding44130 a écrit:

, si cela se monte à la main , ce doit être assez mou ...

Il faut voir la vidéo de montage (enfin une vidéo en anglais, pas en coréen sous-titrée japonais) chez cycletogo, c'est vraiment pas piece of cake.

En tout cas je vois bien un Brompton noir avec les roues carrot, gème bien!

mais pourquoi y a pas personne qui ouvre une boutique que avec tous ces gadgets kits etc etc asiatiques sur Bruxelles il ferait fortune

Une campagne sur kickstarter pour d'autres pneus increvables du même genre que les Tannus, et pour des roues également (un peu bizarre cet ensemble peu clair : https://www.kickstarter.com/projects/1340586869/nexo-tires-and-ever-tires-flat-free-forever

Les pneus Nexo n'étant pas proposés en 16' et les roues ever n'étant à priori pas des produits pour le Brompton, j'ai trouvé cette campagne sans intérêt.

Du coup, j'ai été revoir un peu ce qui se passe chez Tannus : www.tannus.com

Rien de vraiment édifiant ou enthousiasmant sur ce site.

Par contre, quand je vais voir sur un site d'un revendeur (j'ai pris Barcelone au hasard) : http://tannustires.com/

Et ils y vendent, en divers coloris, des pneus pour Brompton (le port est gratuit dès qu'on en achète deux (y inclus hors d'Espagne?) :



En passant sur un autre site, en Angleterre cette fois, on y propose des pneus Tannus : http://www.nipnip.co.uk/tannus-tyres

Les pneus Tannus pour Brompton sont disponibles en plusieurs coloris pour environ 50£, apparemment port inclus.



Je ne sais pas si ces pneus sont faciles à placer sur la jante, mais je sais que nipnip propose de le placer, pour un coût forfaitaire de 20£ par roue : ce n'est absolument pas rassurant.

Mais j'imagine qu'il doit exister des cyclistes qui ont ce type de pneus placés.

Quelqu'un a des infos?

Ce sont donc des pneus colorés mais pas increvables ces Tannus.

Il y a déjà deux ou trois ans que nous avions appris l'existence de pneus aux couleurs vives dans la taille ETRTO 349.  Ce sont les asiatiques qui en raffolent le plus.    Si je retrouve le sujet sur le forum, je mettrais le lien.  J'ignore quel était le fabricant et leur dénomination.

Les Tannus sont bel et bien des pneus increvable = en mousse pleine.

Les avis sur ces pneus sont très négatifs en dehors du fait qu'ils sont increvables : chers, (très) difficille à monter (il existe un kit de montage), lourd, durs (au point d'engendrer des casses de rayons), mauvaise tenue de route...

On les gonfle d'air ?  Sinon ce ne sont pas des pneumatiques et la terminologie prête à confusion dans ce sujet.  Ce sont des bandages comme on en met sur les roues d'un grand bi.

Abeillaud a écrit:

On les gonfle d'air ?  Sinon ce ne sont pas des pneumatiques.

Non, on ne les gonfle pas, c'est de la mousse pleine, c'est la raison de leur poids, de leur dureté et de la difficulté qu'il y a à les monter.

Très bien, alors le terme "pneu" ne doit pas être utilisé : je change le titre.

jipe a écrit:

Les avis sur ces pneus sont très négatifs en dehors du fait qu'ils sont increvables : chers, (très) difficille à monter (il existe un kit de montage), lourd, durs (au point d'engendrer des casses de rayons), mauvaise tenue de route...

C'est évidemment ces avis (très négatifs et autres) qu'il serait intéressant de pouvoir consulter, parce que :

Ils sont chers? 65€ pièce contre 30€ + 8€ pour un Marathon Plus avec chambre à air, annoncé pour 12800kms vs (combien de kms pour les autres pneus ?)
Ils sont difficiles à monter? Au oui, ils sont même plus difficiles à monter que des Marathon Plus. Mais normalement on les remplace en même temps que la jante, grosso modo.
Ils sont lourds? Ben non, ils sont même sensiblement plus léger ou de même poids que les autres, 380g (gonflé) vs 560g pour un Marathon Plus avec chambre à air (dégonflé), ou 460g pour un Marathon idem.
Ils sont durs? C'est un peu le genre d'info que l'on recherche, sont-ils sensiblement plus durs que des pneus à 6-8kg de pression, et garde-t'on du rendement?
Ils ont une mauvaise tenue de route? idem que le point précédent. C'est sûr, on ne peut pas régler en changeant la pression. Mais on parle de quoi, en fait, une impression, une fin de vie difficile, ou alors réellement des pneus inutilisables dans des conditions courantes (sec, mouillé, neige, freinage, etc). Ou alors une tenue de route entre le Stelvio et le Marathon?

S'il y a des liens de discussions concernant ces points, en particulier de ceux qui en ont montés (et comment?), ce serait intéressant.

Il suffit de googler pour touver des review.  Attention a comparer des choses comparables = même largeur en Tannus qu'avec les autres pneus pour Brompton (35mm environ) et sur un vélo avec des petites roues (une roue de 700 est beaucoup plus souple qu'une roue de 349).
http://ayearinbike.tumblr.com/post/118527116154/tannus-tyres
http://thedirtybrompton.blogspot.nl/2014/01/tannus-aither-tires.html

Je ne retrouve plus le post de la personne qui a cassé des rayons de son B avec les Tannus.

jipe a écrit:

Il suffit de googler pour touver des review.

Oui enfin c'est pas vraiment des avis d'utilisateurs au jour le jour, qui ont acheté, monté (ou fait monter) et utilisé des increvables.
Si cette solution est comparable grosso-modo à des pneus, et que je souhaite me lancer dans Nantes-Constanta par l'EuroVélo-6, je pense que c'est une option à envisager (pas de matériel de réparation, pas de rechange, pas même de pompe).
Or ces pneus sont vendus en taille Brompton, il doit bien y avoir quelques utilisateurs réels dans la vie courante, sur un forum ou l'autre, pour dire ce qu'ils pensent vraiment de la dureté, le placement, la tenue de route, la longévité, etc...

simaco a écrit:

jipe a écrit:

Il suffit de googler pour touver des review.

Oui enfin c'est pas vraiment des avis d'utilisateurs au jour le jour, qui ont acheté, monté (ou fait monter) et utilisé des increvables.
Si cette solution est comparable grosso-modo à des pneus, et que je souhaite me lancer dans Nantes-Constanta par l'EuroVélo-6, je pense que c'est une option à envisager (pas de matériel de réparation, pas de rechange, pas même de pompe).
Or ces pneus sont vendus en taille Brompton, il doit bien y avoir quelques utilisateurs réels dans la vie courante, sur un forum ou l'autre, pour dire ce qu'ils pensent vraiment de la dureté, le placement, la tenue de route, la longévité, etc...

Il y quelques années, j'avais lu un article d'un canadien qui a utilisé ces pneus sur son B, il en était content malgré le fait que de son propre aveux ces pneus sont peu efficaces et qu'ils lui avait cassé plusieurs rayons de sa roue arrière ! Mais je n'ai pas retrouvé cet article sur le net.

Bonjour !

J'ai une grande nouvelle pour vous (entre autres) !

En voyage en Italie du Nord, j'ai fait un détour par l'importateur des pneus Tannus. J'ai eu beaucoup de chance, car en repérant l'adresse hier soir dimanche, je suis «tombé» sur l'importateur lui-même ! Très gentil, il m'a proposé de passer le lendemain matin, soit ce lundi matin vers 9h, et bien qu'il soit en vacances pour encore 2 semaines je crois, il m'a emmené dans son entrepôt pour me vendre 2 pneus avec une gentillesse rare.

J'ai choisi de prendre des jaunes. Pour mon Brompton noir.
Mais j'ai rarem vu autant de pneus de toutes les couleurs ! C'était la fête !

À l'heure ou j'écris ces lignes, je viens de finir de les monter et ai fait quelques centaines de mètres. Rien de très differ au 1er abord. J'ai prevu des les tester dans le col du Saint Gothard et dans le col de la Furka en Suisse.
Bien entendu je vous ferai un retour avec photos.
Quand j'aurai un ordi et une connexion internet, je vous mettrai les photos du montage.
Pas si difficile que ça.
À bientôt pour le test grandeur nature !

Bonne soirée !

Merci Walmus, ça m'intéresse.

Walmus a écrit:

J'ai prevu des les tester dans le col du Saint Gothard et dans le col de la Furka en Suisse.
À bientôt pour le test grandeur nature !

Col du Saint Gothard 2108 m et col de la Furka 2429 m, soit 4536 m de dénivelé positif
Voilà un excellent terrain de jeu pour faire ce test
2 cols (sans faux col) dans la même journée, attention à l'abus, surtout à la descente lorsqu'il faudra étancher sa soif

Macadam

Pour l'instant j'ai fait 35 km de l'Italie à la Suisse.
Difficile de dire si il y a une différence car il faisait très chaud et rouler après le repas du midi (à l'heure de la sieste !) c'est dur !

Bonjour à toutes et à tous,

Voilà, j'ai de l'internet plus pratique que sur l'iPhone pour publier un article complet avec photos !

À Macadam : Attention, il ne faut pas cumuler les 2 altitudes brutes, car nous ne partons pas du niveau de la mer.
Pour monter le Saint Gothard, nous sommes partis de Bellinzone (Italie), 238 m d'altitude, soit un dénivelé positif de 2106 — 238 = 1868 m.
Pour monter le col de la Furka (Furkapass), qui est à 2436 m selon le panneau in situ, moins l'altitude de Hospental, soit 1434 m d'alt., nous nous sommes élevés (!) de 2436 — 1434 = 1002 m.
Si je totalise les deux, cela nous donne 1868 + 1002 = 2870 m de dénivelé positif, ce qui est déjà pas mal, d'autant plus que je les ai montés avec ma fille (souvenir ?) qui s'est acheté un Brompton en juin, mais je lui laisse le soin de le présenter en même temps qu'elle.

Je vais décrire le montage des pneus bandages Tannus sur mon Brompton.

Tout d'abord, une photo d'un Tannus non déballé et un déballé pour voir le contenu :



Comme vous pouvez le voir à l'intérieur du pneu de droite, il y a 3 sachets de «pins». Chaque couleur correspond à une longueur différente à adapter suivant la largeur de la jante.
Ces pins servent à maintenir le «pneu» sur la jante en faisant office de clip.
Comme on peut le voir sur les photos, le pin gris a l'air d'aller mais est trop court, le pin rouge est trop long et ne rentre pas, reste le pin bleu a la bonne longueur et rentre parfaitement.

Les pins gris sont trop courts, il y a du jeu :



Les pins rouges sont trop longs :



Les pins bleus sont à la bonne longueur, il suffit d'en mettre un en biais et de le tourner pour s'en rendre compte :





Mise en place et réglage à l'aide de l'outil spécial (fourni) des pins, bleus donc, dans le «pneu» :







Comme vous pouvez le voir, je n'étais pas tout seul à mettre la main à la pâte !

Pose du bandage sur la jante en commençant par le 1er côté :



1er côté posé :



2ème côté posé :



Roue avant remontée (génial, pas besoin de gonfler !)



Les 2 roues sont remontées sur mon Brompton. Il n'est pas beau avec des pneus jaunes ? :



Voilà, je ne vous cache pas qu'il faut un peu de force pour mettre le bandage sur la jante, mais mis à part ça, cela aura pris moins de temps que de rédiger l'article !

Si je n'ai pas été clair sur certains points, dites-le moi et je complèterai.

Dans le prochain billet, premières impressions…

Merci Walmus pour ce premier retour (présentation et montage en statique). Un vrai Meccano en famille.
J'attend avec impatience les essais dynamiques dans les cols du St-Gothard et de la Furka
En tout cas ces pneus sont superbes et mettent de la couleur.
Petite question : pour poser ou déposer la roue, comment fais-tu pour passer le pneu à travers les patins des étriers (pincement du pneu ou desserrage des étriers) ?
Autre question : est-ce plus dur que de monter des Marathons+ ?
Ca doit être coton pour les enlever

Macadam

Je suis curieux de voir ton retour d'expérience.

Les anciens Tannus étaient connus pour ne pas crever mais faire casser les rayons des roues !

Merci Walmus, tes photos expliques bien le principe.

Comme Jipe l'indique, il risque d'avoir de la casse, surtout pour les personnes qui ont un poids limite (sûrement pas ton cas) ou lors d'impact causé par les chaînes de trottoir ou les trous sur le pavé.

Petite question: Si tu les compares avec un pneu Marathon, obtiens-tu le même confort lors d'impact au sol (sont-ils aussi absorbant)?

A+

Depannezvous a écrit:

Comme Jipe l'indique, il risque d'avoir de la casse, surtout pour les personnes qui ont un poids limite (sûrement pas ton cas) ou lors d'impact causé par les chaînes de trottoir ou les trous sur le pavé.

C'était il y a longtemps, avec des versions anciennes des Tannus.

Je ne sais pas si c'est encore d'actualité avec les modèles actuels.

La roue avant avec son rayonnage radial sera particulièrement exposée...

Je suis en train de taper l'article mais jai un internet très lent et je galère pour les photos.
Patience, ça arrive.

Bonjour !

Après le montage des pneus en Italie au bord du lac Majeur, voilà enfin le compte rendu des premières sorties.

1) 1er test du lieu de montage à Bellinzone (Suisse), soit env. 35 km en plein soleil (début d'AM) et surtout à l'heure de la sieste et là, j'avoue, j'ai du mal !
Impression du jour : Ce qui me paraît incontestable, c'est un rendement quand même inférieur aux kojak, car dans les descentes en roue libre, j'étais derrière ma fille à moins de me mettre en position descendeur ce qui n'est pas de tout repos.

2) 2ème jour : Bellinzone - Airolo, soit 48 km et près de 1132 m de montée. Journée très chaude, la première moitié du chemin était plat, et après, la route s'est redressée devant nous comme si elle voulait montrer qu'elle n'allait pas se laisser dompter facilement. La fin s'est révélée particulièrement usante, surtout qu'après Airolo (nous avons dormi 2 km au dessus d'Airolo) sont arrivés les…
… pavés !!! Et oui, dans une côte. Du jamais vu pour nous jusqu'à maintenant. Étape fatigante.
Une anecdote nous a fait perdre du temps (et permis de manger un peu de pain d'épices), mais a rendu service à la propriétaire paniquée : nous avons trouver un téléphone portable au bord de la route en pleine campagne, allumé, sans code de verrouillage, avec 23% de batterie et réseau Swisscom 4G+. Ne parlant pas très bien l'italien, nous nous sommes rendus dans une Casa communale où je suis tombé sur une dame parlant le français couramment ce qui facilite grandement les choses. La propriétaire était ravie de retrouver son téléphone.
Impression : je ne sais pas trop quoi dire, car ayant plus d'entraînement que ma fille, je n'ai pas particulièrement souffert. Cependant, je ne sais pas trop comment le décrire, mais quelque soit la qualité de ces bandages, qui font office de pneus, et la souplesse de la gomme qui est certes superbe, il manque l'élasticité de l'air. J'espère que vous voyez ce que je veux dire.

2.1) Arrivé au point de RV avec notre maison roulante (à 1370 m d'alt.), ma cadette a voulu faire du vélo et à force de persuasion, nous sommes partis tous les 2 sur les 9 derniers km du Gothard, dont plus de 6 km sont en pavés, avec 736 de D+.

Départ sur un passage en pavés :



Quelques lacets, car c'est magnifique à regarder :











Mur de soutient d'épingle à cheveux :



Borne 2 km de l'arrivée :



Dernière borne avant le sommet :



Au sommet :



Ce qui est magnifique, ce sont les 37 épingles à cheveu entre Airolo et le col. Route qui laissera un souvenir inaltérable dans nos mémoires ! 1 heure 3/4 après, arrivés au sommet, séance photos et descente. Alors là, ça vibre. Ça vous étonne ? J'ai entendu ma fille dire qu'elle avait encore mal aux mains le lendemain ! Nous avons du nous arrêter au moins 2 fois pour reposer les mains des vibrations.
Impression : Alors là, sur les pavés, je ne suis pas sûr qu'il y ait une grande différence. Par contre, dans la descente, je suis moins confiant sur la tenue de route sur les pavés dans les rivages. Effet psychologique ? a priori, je ne sais pas. En tout cas, je n'ai pas lâché le guidon et ça je vous le promet. Mais la tenue de route n'a jamais été prise en défaut.

3) Airolo - Furkapass : Le lendemain, départ le matin avant les grosses chaleurs pour monter le Gothard en 1h20, faire quelques photos, acheter une carte postale, et repartir vers le Furkapass en commençant par 4 km de descente en pavés en direction d'Hospental où l'allemand prend la place de l'italien. Je ne peux pas vous dire quelle vitesse j'ai atteint dans la descente, car les forfaits tél + internet en Suisse sont très chers, donc pas de tél, pas de GPS (juste CityMap2Go qui permet une localisation sur une carte hors ligne, très bien d'ailleurs dans tous les pays du monde), mais je pense avoir dépassé les 60 km/h. Puis montée vers le Furkapass en passant par Réalp.

Un train suisse vers Réalp :



Les 2 derniers lacets du Furkapass :



Sommet du Furkapass :





Impression : rien de spécial, je m'y habitue très bien. Par contre, dans les montées, on n'a pas la même relance à chaque coup de pédale ; souplesse et élasticité de l'air ? Un peu la même différence entre un vélo acier (souplesse du cadre) et un vélo carbone (rigidité du matériau), d'après ce que j'ai compris, car je n'ai jamais roulé avec un cadre carbone. Mais lors du sprint final, à la toute fin du col, à la vue de la pancarte, pas de problème, ça répond quand même.

Conclusion : Je suis satisfait de ces pneus, à peine plus lourds que le couple pneus-chambre à air, sauf que je pense qu'il y a quand même une légère perte de confort et de rendement. Mais cela reste une impression, n'ayant pas le possibilité de faire une comparaison chronométrée sur un même trajet dans les mêmes conditions. Ce qui m'a dérouté au début, c'est la petite bande qui ressemble à un joint, qui déstabilise latéralement, mais on s'y habitue très vite.
Le très gros atout reste le fait de ne pas avoir à emporter de nécessaire de réparation (avec la clef de 15) ainsi qu'une pompe. Et qu'est-ce qu'on est content (ce n'est pas gentil, hein !) de voir quelqu'un qui répare… une crevaison. Et pour réaliser un trajet pour le travail (qui oblige d'être très à l'heure), c'est réconfortant.
Je pense que l'idéal serait d'avoir un vélo équipé de pneus pleins et un autre équipé de pneus classiques.

J'espère que mon début d'expérience vous conviendra !

Je suis prêt pour les questions.

Walmus

Super compte rendu, merci.

A+

Merci pour le partage Walmus, et bravo à toi et à tes filles pour ces exploits!
J'étais tenté par ces pneus increvables, car même si je ne crève pas souvent avec mon brompton je déteste réparer une crevaison sur ce vélo.
Grâce à la pertinence de ton analyse je remets à plus tard l'utilisation de ces bandages car la différence de performance par rapport aux pneus gonflables me dissuade pour l'instant. Mais ce n'est que partie remise, je pense que j'y viendrai un de ces jours. Par exemple quand j'irai rouler au Sénégal avec mon b, là-bas sur les pistes, c'est prévu...