G-line

jipi a écrit:

A mimima, utiliser les boulons de la fourche pour amener une fixation mâle au niveau du cintre, et une adaptation du cintre pour avancer la fixation femelle devant les cables.
Cela éviterait un moment des forces qui doit être énorme sur la fixation existante, mais attention à l'encrassement de la partie mâle.  

Oui, ce système avec le long bras de levier sur la fixation et la charnière de la potence, outre qu'il augmente inutilement la largeur pliée, peut être la cause de déformation de la potence ou/et de sa charnière si le vélo est posé à plat sur son coté droit avec d'autre bagages placé sur le vélo comme lors d'un transport en soute dans un car, un avion...

Brompton a repris sur le G-Line le principe de la fixation du T-Line, mais le système est inversé (la partie mâle est sur la partie fixe de la potence) et la partie femelle (2 billes comprimées sur le T-Line pour bloquer la boule) est simplifiée sur le G.
La solution proposée par Jipi permettrait de créer un nouveau verrouillage simple et économique qui permettrait déjà de gagner 2/3 cm sur la largeur, mais condamne peut-être la possibilité d'accrocher un support de sacoche.
A voir si les équipementiers s'intéresseront à ce problème et proposeront une solution de ce style (ou une autre).

Macadam

J'ai uniquement enlevé la boule visée sur le petit tube fileté soudé sur la partie fixe de la potence en dessous de la charnière ce qui laisse le tube soudé.

Dans ce cas, la potence se replie plus près de la fourche mais pas totalement.

Je pense que la raison pour laquelle la potence ne se replie toujours pas complètement est la pièce en plastique noire placée sur la partie pliable de la potence dans laquelle s’emboîte la boule qui est assez épaisse et se coince entre les deux parties de la potence (et pas le petit tube fileté soudé sur la potence qui rentre dans le trou de la partie pliable de la potence)

Je pense que si on enlève aussi cette pièce noire assez épaisse, rien n'empêchera plus le repliement complet de la potence.

Restera à ajouter quelque chose pour verrouiller la potence en position repliée comme un lien/un emboîtement (comme les colliers en plastique ouvert servant à fixer le tuyaux d'écoulement d'eau en PVC sur les mur)... entre cintre et fourreau de fourche.

Si la pièce en plastique (partie femelle) qui verrouille la boule peut être enlevée facilement, on peut envisager des solutions simples et peu coûteuses pour améliorer le volume compacté en largeur.
On verra peut-être dans un avenir plus ou moins proche des améliorations de ce genre.

Macadam

J'aurais du regarder comment est fixée la pièce noire dans laquelle la boule s’emboîte

Deux photos trouvées sur le net qui montrent la boule et la pièce d’emboîtement, on voit l'empreinte hexacave de la vis qui tient la boule mais pas comment est fixée la pièce d’emboîtement.

Si c'est une pièce en plastique, elle est peut-être juste emboîtée dans la potence par clipsage et pourrait potentiellement être retirée avec un peu d'effort.
A suivre. Certains utilisateurs tenteront peut-être le coup.

Macadam

Une photo du système d'accrochage de la potence.  On voit bien la découpe dans la partie supérieure repliable dans laquelle la boule de la partie fixe vient s'emboiter et les deux lèvres en plastique qui enserrent et maintiennent la boule.

Bonjour à tous

Pour ceux qui sont sur Mastodon, on a un échange depuis quelques jours avec Tristant Nitot (oui, l'ex fondateur et président de Mozilla Europe) qui s'en est offert un. Et pour l'inaugurer, et il est parti en week-end avec Madame, elle aussi en Brompton "classique".


Il roulait déjà en Brompton avant, donc je lui ai posé quelques questions, et en résumé, la différence pour lui est :

• pas beaucoup plus gros plié (il sont partis en TGV)
  
• plus rigide
  
• plus stable
  
• plus conformable
  
• freine mieux
  

J'espère que la SNCF l'acceptera aussi facilement que le Brompton "classique"...

Sanji a écrit:

Pour ceux qui sont sur Mastodon, on a un échange depuis quelques jours avec Tristant Nitot (oui, l'ex fondateur et président de Mozilla Europe) qui s'en est offert un. Et pour l'inaugurer, et il est parti en week-end avec Madame, elle aussi en Brompton "classique".

Dommage qu'il ne raconte pas cela ici (il est inscrit sur le forum)

Stéphane Ascoët a écrit:

Dommage qu'il ne raconte pas cela ici (il est inscrit sur le forum)

Il en parle chez lui depuis ce matin : https://www.standblog.org/blog/post/2024/10/28/Essai-du-Brompton-G-Line

Sanji a écrit:

Stéphane Ascoët a écrit:

Dommage qu'il ne raconte pas cela ici (il est inscrit sur le forum)

Il en parle chez lui depuis ce matin : https://www.standblog.org/blog/post/2024/10/28/Essai-du-Brompton-G-Line

Je trouve qu'il a bien résumé le G-line :

Tristan Nitot a écrit:

Je regarde le guidon, et je le trouve moderne, sobre et avec un superbe design. C’est une impression qui va revenir souvent dans ce compte-rendu : le G-Line, c’est un Brompton du 21e S.

La suite pour Brompton me semble évidente : un je ne sais quoi line avec un design identique au G-line mais en 55x349.

En attendant, il y le Birdy 3 (Tristan Nitot devrait l'essayer).

Hello,
J'ai vu le 20 pouces, il est tout beau tout gros!
Il a l'air bien confortable, il est super facile à plier.
Par contre, pour le touring, toujours pas moyen d'y mettre des sacoches sans taper les talons, pas de dynamo avec ou sans USB, pas de trou de souris dans le TGV, pas de cachette dans l'abside de tente, pas de commerce à la va-vite avec destrier à la main ou dans le caddie.
Alors pour commuter, le petit reste idéal. Pour le touring, le gros doit être super confortable mais l'encombrement devient le problème.
Aaaaaaahhhhh....

J'ai eu le privilège de pouvoir essayer le G-Line de jean-luc lors de la Balade franco-belge le week-end dernier.

Ce vélo est génial. Plus confortable que le 16' surtout sur les chemins de halage. Freins à disque efficaces, 8 vitesses au moyeu performantes. Guidon plus confortable.

J'ai eu l'impression de rouler aussi facilement qu'avec mon H6L electric.

J'ai lu ça (et conserve mes Birdy !), si ça peut faire avancer les réflexions :

Let the Mod begin ... 1.65kg off (H&H style)
----------------------------------------
G line adjustment Harvey Hung
After riding the Temple hill yesterday on the original G line, I found that it really didn't work. Today, I quickly adjusted it to address the problems encountered yesterday, and rode the hill again. It felt much better. What was adjusted?
As follows: https://bikegang.ecwid.com/search?keyword=H%26H
1 Cut the handlebar short, from 660 to 600, because it is a swallow (swept-back) handlebar, it cannot be shortened any further.
2 Lower the stem height, because it is a swallow handlebar, simple angle rotation is good enough.
3 Reduce the gear ratio to increase climbing power, from 54T to 44T
4 Lightweight
4.1 Gravel bike with mudguards and flaps really looks wierd, so they were removed along with rack, reducing weight by about 0.85kg
4.2 The seat tube was replaced with a carbon one, the BB with a titanium one, the cranks with a pair of carbon ones, the pedals with carbon ones, and the EZ Stand was used, reducing weight by about 0.8kg
A total weight loss of 1.65kg is already quite a lot on a 349 brommie. On the G line, it is true that it only dropped from 14.85kg to 13.2kg, so it doesn't feel like much has been lost.

Riding the bike again, I found that the gearing was much better for climbing, and I could ride the whole way sitting down, unlike yesterday when I had to stand pedal in several sections.
However, losing 1.65kg doesn't seem like much. Compared to my usual 8.5kg P line, a 2km climb of 200m takes almost 2 minutes longer on the G line. Don't underestimate these 2 minutes.
When sxxx is rolling, 2 minutes is the difference between taking business pants on vs. over the toilet!

Kinetics propose des upgrade de la transmission du G-line :
- upgrade Alfine 11.
- upgrade Rohloff
- upgrade courroie : mais pour cette conversion, Ben indique "the belt drive kit needs you to cut through the dropout" sans expliquer comment le faire (je suppose qu'il démonte le dropout qui est monté sur le cadre par 2 boulons, coupe le cadre entre ces 2 boulons, passe la courroie et ensuite remonte le dropout, la section du cadre étant refermée par le dropout ?).

Cékoi un dropoute ?

La patte sur laquelle se monte l'axe de la roue.

Sur le G-line, ces pattes sont boulonnée sur le triangle arrière avec 2 boulons (ce qui permet de changer de type de patte, exemple, patte pour axe serrage rapide, pour axe traversant, patte droite avec support de dérailleur ou pas...).



Personnellement, si je devais couper le cadre entre les deux boulons de montage du dropout, au remontage, j'ajouterais une plaque de renfort sur la face extérieure pour prendre le cadre coupé en sandwich.

Merci
C'est inquiétant de couper là
La courroie apporte plus de problèmes que de bénéfices à commencer par l'impossibilité de modifier pédalier ou pignons par la suite.

intéressant à savoir sur le G Line : le moyeu Shimano Alfine 8 a besoin d'une maintenance (bain d 'huile shimano) tous les 2000 km d’après Brompton (la doc officielle de Shimano donne ce chiffre également)..



sur cette autre vidéo le technicien vélo parle plutôt de 4000 a 5000 km dans les faits (cf commentaires vidéo)

Merci pour ces 2 vidéos intéressantes.
Je suggère au moment de retirer le mécanisme et avant de le tremper dans l'huile Shimano de le plonger dans un bac d'essence pour bien nettoyer le mécanisme et le débarrasser de toutes les saletés éventuelles (en utilisant un pinceau pour bien le nettoyer) et de le sécher ensuite avant de le plonger dans le bac d'huile Shimano pour le re-lubrifier et qu'il reparte pour 2000 km supplémentaires.
Idem pour le corps du moyeu qui doit être propre avant remontage.
C'est la méthode utilisée par Aaron Gosse qui possède un atelier à Seattle où l'air salin est très corrosif pour les moyeux à vitesses intégrées.
Ca permettra de prolonger la durée de vie du moyeu.

Dans la 2ème vidéo, il est préférable d'insérer le mécanisme dans le corps du moyeu par le haut plutôt que de mettre la roue sur le mécanisme pour qu'il y ait un minimum d'huile qui reste dans le corps du moyeu au moment du remontage.
Ca évitera aussi de trop tâcher l'établi et on voit mieux ce qu'on fait lors de l'insertion.

Macadam

Et manipuler le disque de freins à main nue c'est permis ?

Macadam a écrit:

Je suggère au moment de retirer le mécanisme et avant de le tremper dans l'huile Shimano de le plonger dans un bac d'essence pour bien nettoyer le mécanisme et le débarrasser de toutes les saletés éventuelles (en utilisant un pinceau pour bien le nettoyer) et de le sécher ensuite

Je n'utilise pas l'essence, car je ne sais pas si c'est compatible avec les pièces en plastique dans les moyeux Shimano.

Lors des entretiens "majeurs" avec démontage du moyeu, jusqu'ici (depuis 2011) il m'a suffit d'essuyer le mécanisme et l'intérieur du corps du moyeu avec un chiffon. Ensuite, je remets de la graisse marine sur les deux roulements à billes accessibles, puis je remets de l'huile propre. Pas trop, sinon ça s'écoule.

J'utilise depuis 2011 une huile synthétique (Mobil Mobilube 1 SHC SAE 75W-90 Automotive Gear Lubricant), du coup je sais que ça n'endommage pas les pièces en plastique. C'est beaucoup moins cher que l'huile officielle Shimano, et plus fluide, ce qui doit améliorer un peu le rendement mécanique. Mais comme sa viscosité est moindre, il faut renouveler l'huile plus souvent.

Pour les entretiens "mineurs", depuis quelques années je fais un peu comme pour le Rohloff, mais en plus simple. J'ai percé et taraudé un trou sur le corps de mes moyeux. Au début j'utilisais un vis de vidange Rohloff pour obturer le trou, mais depuis j'ai trouvé des vis en nylon avec le même pas, qui sont plus pratiques et qui sont aussi plus étanches, car je mets un petit joint "O-ring" sous la tête. Avec cette modification, je n'ai pas besoin de retirer la roue et ouvrir le moyeu si souvent.

Comme avec le Rohloff je retire le vis de vidange, puis j'utilise une seringue avec un tuyau à embout fileté pour injecter environ 15 ml d'huile. Ensuite je retire la seringue et son tuyau, je referme avec le vis nylon, et je fais le tour du quartier (ou je vais chercher du pain, etc.) pour bien remuer. Au retour, je retire le vis nylon et je remets le tuyau de la seringue en place avec le trou de vidange en bas de la roue et le bout libre du tuyau dans une bouteille en plastique vide. Et je laisse écouler l'excédent d'huile pendant plusieurs heures, voire pendant une nuit entière. Après, je retire le tuyau de la seringue et je remets le vis nylon en place.

Entretien mineur tous les 1000 kms environ, ou tous les ans si le moyeu ne roule pas beaucoup (l'huile s'évapore ou suinte même si on ne roule pas).

Entretien majeur quand j'estime qu'il y a besoin, ça dépend surtout de l'utilisation, généralement tous les 3000-5000 kms ou tous les 4 ans pour les vélos qui ne roulent pas beaucoup (la graisse sèche avec le temps). Mon vélo utilitaire à beaucoup roulé sous la pluie cette année, je comptais faire son entretien majeur fin 2026 mais je vais probablement l'avancer pour tenir compte des conditions météo.

Bien entendu, ces modifications invalident toute garantie.

Cet entretiens laborieux et fréquent pour un utilisateur journalier du G-line rends ce moyeu encore moins désirable !

Sans parler du gaspillage d'huile, des litres d'huiles pour simplement tremper et faire un peu barboter le moyeu dedans

Shimano aurait pu fabriquer un récipient épousant la forme du moyeu et de son axe permettant de faire baigner le moyeu dans l'huile sans devoir utiliser des litres d'huile !

Assécher le moyeu en le trempant dans de l'essence avec le risque que de l'essence reste à certains endroits et que l'huile ne pénètre pas bien partout ne me semble vraiment pas à conseiller (ceci en plus de l'effet de l'essence sur les pièce en matériaux synthétique).

Si on veut rincer le moyeu (ce que Shimano ne préconise pas, parfois, le mieux est l’ennemi du bien), il est préférable d'utiliser une huile de rinçage (comme avec le Rohloff).

martinf a écrit:

Je n'utilise pas l'essence, car je ne sais pas si c'est compatible avec les pièces en plastique dans les moyeux Shimano.

L'essence a la particularité de bien dégraisser (et rapidement).
Il s'agit de nettoyer proprement le mécanisme en le trempant pendant une minute ou deux dans un bac d'essence, de l'égoutter et de le sécher, pas de le laisser tremper pendant 10 ans. L'essence n'aura pas le temps de détériorer les pièces en plastique du mécanisme qui sont peu nombreuses (les enzymes gloutons n'auront pas le temps de se restaurer )
Les pièces en plastiques sont surtout celles à l'extérieur du moyeu (joints et couvercle) qu'on peut nettoyer avec un nettoyant vélo classique.
Cette action a pour but de rendre propre le moyeu en le débarrassant de toutes les saletés avant de le re-tremper dans de l'huile propre Shimano (ou équivalent pour ceux qui veulent utiliser autre chose). Ca ne me viendrait pas à l'idée de tremper un mécanisme sale (voir les photos ci-dessous) dans de l'huile propre. C'est du bon sens.
Aaron Gosse aux USA utilise cette méthode avec succès depuis des années et il a réparé dans son atelier à Seattle bon nombre de moyeux (Shimano, mais aussi SRAM ou Sturmey) qui étaient dans un triste état.

Moyeu complètement dégraissé et propre, comme neuf

Quelques exemples de moyeux qui ont souffert et qui méritent un bon nettoyage complet :
Moyeu Nexus 8 ayant roulé moins d'un an à Seattle

martinf a écrit:

Lors des entretiens "majeurs" avec démontage du moyeu, jusqu'ici (depuis 2011) il m'a suffit d'essuyer le mécanisme et l'intérieur du corps du moyeu avec un chiffon. Ensuite, je remets de la graisse marine sur les deux roulements à billes accessibles, puis je remets de l'huile propre. Pas trop, sinon ça s'écoule

Pour l'intérieur du moyeu, cette méthode marche bien avec un nettoyant vélo, le corps étant cylindrique d'un certain diamètre, ça se fait bien.
Pour l'huile, il faut que le mécanisme soit égoutté un minimum avant de l'insérer au remontage.

Macadam

jipe a écrit:

Sans parler du gaspillage d'huile, des litres d'huiles pour simplement tremper et faire un peu barboter le moyeu dedans

Shimano aurait pu fabriquer un récipient épousant la forme du moyeu et de son axe permettant de faire baigner le moyeu dans l'huile sans devoir utiliser des litres d'huile !

Assécher le moyeu en le trempant dans de l'essence avec le risque que de l'essence reste à certains endroits et que l'huile ne pénètre pas bien partout ne me semble vraiment pas à conseiller (ceci en plus de l'effet de l'essence sur les pièce en matériaux synthétique).

Si on veut rincer le moyeu (ce que Shimano ne préconise pas, parfois, le mieux est l’ennemi du bien), il est préférable d'utiliser une huile de rinçage (comme avec le Rohloff).

On ne gaspille pas tant que ça d'huile, car il s'agit de le tremper complètement dans un pot adapté à sa taille pendant quelques secondes et de l'égoutter.
Une fois égoutté, il ne reste qu'une petite quinzaine/vingtaine de ml sur le moyeu, le reste retombe dans le récipient et on peut réutiliser cette huile pour la prochaine vidange. D'où l'intérêt de nettoyer le mécanisme avec de l'essence (ou un nettoyant vélo adapté) pour ne pas polluer avec de la saleté cette huile qui a un certain prix, notamment en bidon grand format (le bidon est suffisant pour plusieurs vidanges).

Si on utilise de l'essence pour nettoyer le mécanisme, il faut bien l'égoutter et le laisser sécher pendant quelques minutes avant de le plonger dans l'huile propre, mais le résultat vaut la chandelle (voir la photo dans mon message juste au-dessus). C'est mieux d'avoir un moyeu propre qu'un moyeu sale.

Pour le récipient, on peut utiliser au besoin celui du Shimano Alfine 11 (pas besoin de la seringue) : kit vidange Alfine 11
Mais n'importe quel récipient peut faire l'affaire, quitte à retourner le moyeu si le récipient n'est pas assez haut pour mettre le moyeu complètement dedans.
L'avantage de l'essence est qu'elle coûte moins cher qu'une huile de rinçage comme celle de Rohloff, mais on peut utiliser un autre dégraissant que l'essence.

Macadam

Thierry a écrit:

Et manipuler le disque de freins à main nue c'est permis ?

Tu peux manipuler le disque à la main pour le retirer ou le remettre (délicatement, pas comme un bourrin ).

Macadam